Dans le même temps, on ne compte plus les maternités fermées faute d'accouchements en nombre suffisant, les bureaux de poste réorganisés, les villages privés de leur école...
Pour lutter contre le déficit budgétaire, certains candidats parlent ouvertement de réduire le train de vie de l'Etat et de diminuer le nombre de fonctionnaires (consulter les effectifs de la fonction publique selon l'Insee et le Sénat).
Après la vague des nationalisations inscrites dans le programme commun de la gauche, la tendance est plutôt aux privatisations. Quelles missions relèvent aujourd'hui du service public ? Quels services gagneraient en efficacité s'ils dépendaient du privé ?
Cette ligne de démarcation continue à cristalliser les passions.
Et vous qu'en pensez-vous ? Etes-vous prêt à vous faire soigner plus loin de votre domicile, pour bénéficier des infrastructures d'un hôpital mieux équipé ? Pensez-vous que le droit de grève doit être encadré dans les transports publics pour assurer un service minimum ? Ou bien pensez-vous que la Poste doit rester un service de proximité, indépendament des seuils de rentabilité ?
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La semaine prochaine : le pouvoir d'achat.